EY désigne l’organisation mondiale des sociétés membres d’Ernst & Young Global Limited, et peut désigner une ou plusieurs de ces sociétés membres, lesquelles sont toutes des entités juridiques distinctes. Ernst & Young Global Limited, société à responsabilité limitée par garanties du Royaume‑Uni, ne fournit aucun service aux clients.
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Le secteur minier de demain prend forme aujourd’hui. Compte tenu de la volatilité du marché et de la fluctuation des prix des matières premières, les sociétés minières doivent être efficaces. La modernisation des activités sera primordiale pour les sociétés minières, surtout celles de rang intermédiaire qui souhaitent prendre de l’expansion.
Alors que les grandes sociétés minières ont déjà investi dans des systèmes complets pour normaliser les processus et les données sur des plateformes infonuagiques privées, les sociétés minières de rang intermédiaire ont toujours évité de recourir à des systèmes ERP de premier plan comme SAP. La complexité perçue du processus, les coûts de mise en œuvre et les exigences en TI connexes ont fait en sorte que la majorité des entreprises à structure moins complexe continuent d’utiliser des technologies disparates et des processus manuels reposant sur Excel, bien que les solutions ERP figurent en tête de leurs priorités pour l’avenir.
De plus, compte tenu des attentes croissantes concernant la cadence d’exploitation et le taux d’extraction, les répercussions sur l’environnement et la menace grandissante des cyberattaques, les sociétés minières de toutes tailles font face à des exigences accrues en matière de surveillance et d’obligations de présentation de l’information de la part des gouvernements et des organismes de réglementation. Devant ces pressions, de nombreuses sociétés minières se demandent comment elles arriveront à mener leurs activités efficacement au cours des dix prochaines années.
Que les sociétés minières de rang intermédiaire utilisent Microsoft Excel ou QuickBooks pour gérer leurs activités ou d’anciennes technologies ERP qui ne possèdent pas les capacités requises, les turbulences économiques et les tensions géopolitiques poussent bon nombre d’entre elles à évaluer si elles ont les outils nécessaires à l’appui de la croissance prévue ou si le moment est venu de passer à des services ERP axés sur l’infonuagique.
D’autres se demandent peut‑être si elles peuvent se permettre d’adopter des technologies robustes comme SAP, alors qu’elles devraient plutôt se demander si elles peuvent se permettre de ne pas le faire.