EY et la Fondation Palladio sont heureux de publier le 8ème Panorama de l’immobilier et de la ville. Cette année, nos équipes se sont donné un objectif ambitieux : réaliser le premier baromètre d’impact à 360° de la première filière industrielle de France (10,5% du PIB et 2,3 millions d’emplois), en tenant compte des dimensions économique, environnementale, sociale et sociétale.
Le 1er baromètre d’impact : ici naît l’impact de l’immobilier
Depuis 2015, EY et la Fondation Palladio publient le Panorama de l’immobilier et de la ville. Ce travail de terrain a contribué à affirmer l’immobilier et la ville comme une filière industrielle à part entière.
Sous l’impulsion de Méka Brunel, Présidente de la Fondation Palladio, et de Jean-Marie Tritant, Président du Directoire d’Unibail-Rodamco-Westfield, le Sommet 2023 de l’Université de la Ville de Demain a dit le besoin, sinon la nécessité, d’une étude d’impact multidimensionnelle, transparente et prospective.
Cette idée provient du constat que chacun d’entre nous reste concentré sur ses produits ou son métier, ses enjeux et ses problèmes. Chacun reste dans son couloir de nage, dans son silo. Et chacun va mesurer son impact… et pas tellement plus. C’est donc là, quand tout nous ramène au particulier, que naît l’idée d’un baromètre de l’impact de l’industrie de la ville. Il faut donc mesurer l’impact de tous sur tout, partout et dans toutes les dimensions. Pas seulement sur l’économie et l’environnement, déjà bien traités dans les précédentes éditions du Panorama.
500 dirigeants et une quarantaine d’organisations professionnelles nous ont aiguillonnés vers deux dimensions moins explorées, ô combien critiques : le champ social qui ouvre sur l’emploi, les territoires, la diversité et l’inclusion. Et enfin le champ sociétal, celui qui dit la contribution de notre industrie au bien-être, bien créer, bien vivre, bien manger de chaque Français.
Quelle ambition ! Ce premier rapport est un simple exercice de mesure, dans tous les sens du terme. Si l’on se réfère à l’étymologie de l’impact (du latin impactum, « frapper fort »), l’impact doit faire mal. C’est là qu’on appelle EY. Non pas pour faire mal, mais pour compter, ranger, dire ce qui fait mal, mais le dire bien, en évaluant la performance de la filière et sa marge de progression, sa situation par rapport à d’autres et à l’égard d’objectifs réglementaires.
En tant que Mécène de la Fondation Palladio, EY est ravi de s’inscrire dans cette action collective. Nous vous souhaitons une très bonne lecture de ce travail collectif, innovant et évidemment perfectible.
Une cartographie de l’impact en 4 dimensions